Zalouest’h

Zalouest'h

L'origine du groupe remonte à l'aube du premier millénaire avant Gycée lorsque le philosophe antique Zalou le Namibe perdit sa bouteille de soda dans du béton pas encore figé. En septembre 2011 quelque chansonnier, les yeux rivés vers le lointain horizon du succès, buta par inadvertance sur le goulot dépassant du trottoir. La rue était en pente. Le premier guitariste bousculé fut emporté dans la chute, puis un autre chanteur, un barbu, un glockenspieler, un bassiste et enfin un saxophoniste qui vaquaient paisiblement furent happés par effet boule de neige. L'histoire raconte que les dernières paroles du saxophoniste avant la trombe furent : "couac !". Ils avaient dévalé jusqu'en janvier 2012, perdu quelques neurones dans la bataille, mais maintenant, ça allait swinguer. Zalouest'h était né.

Le groupe : truc à géométrie variable.

Après quelques temps à 6 à faire trop de bruit (cuivres, batterie, instruments électriques ...) le groupe devient duo (trio ?) acoustique pour pouvoir jouer n’importe quand, n’importe où. Puis bon, c’est triste à deux (trois ?). Donc Zalouest’h recrute. Et se retrouve avec 6 personnes (mais pas les mêmes qu’au début !), des instruments à ne plus savoir qu’en faire, qui nécessite une douzaine de mulets pour le transport. Mais ça fait moins de bruit qu’avant, puisque le groupe se focalise sur de l’acoustique, pour jouer devant le meilleur public du monde : les clodos de la Daurade de Toulouse. Ou tout autre personne qui déambule dans les rues, places, parcs de Toulouse.
Des influences allant des Têtes Raides, Fatals Picards aux Ogres de Barback en passant par Debout sur le zinc. Les musiciens poussent la chansonnette dans l'absurdité d'une course poursuite d'un farfadet et d'un hérisson sur le bord d'autoroute ou d'une Dame accro au graffitis phalliques. Zalouest'h c'est des textes décalés dans un univers aride rempli de caméléons faisant des mathématiques financières et de éléphant faisant de la politique de savane

Comments are closed.